Edmond adore chanter, au grand dam de son père qui lui demande quitter la voiture.
Edmond décide de rentrer dans la forêt. Il fera alors la rencontre d’un lièvre, d’un oiseau, d’un orignal, d’un renard et même d’un ours. Tous l’aideront à affirmer sa… voie/voix.
Edmond reviendra de son périple encore plus entier et sonore que jamais. Que tout le monde se le tienne pour dit. Edmond n’arrêtera jamais de chanter!
À la manière de Sacré Tympan, les choix de mise en scène ont permis de se distancier d’un théâtre plus conventionnel. Les animaux sont des marionnettes avec les voix des chanteurs et manipulés par ceux-ci Le jeu «cartoonesque» fait écho à une musique drôlatique ou complètement émotive. Dans des éclairages chauds, la scénographie de type «cabaret» s’éloigne résolument du lieu de la forêt et permets une grande liberté d’interprétation tout en laissant une grande place à la musique.
Les costumes en noir et blanc contrastent avec les marionnettes colorées et participent à cette recherche formelle.
Dans une ambiance de cabaret où se côtoie chant lyrique, jazz, rock et comédie musicale, les marionnettes qui chantent accompagnent Edmond dans sa quête.
Découvir la production: Chante, Edmond!